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Portraits de notre communauté : Cyn Koukos

Five photos of LFC teacher, Cyn Koukos

Dans le cadre de notre série ""Oui" are the Lycée : portraits de notre communauté"*, nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec Cyn Koukos, professeure d’anglais très appréciée de tous au LFC depuis 30 ans. Américaine avec des origines grecques, Cyn rejoignit le Lycée à l’ouverture de ses portes à l’automne 1995 et enseigna au secondaire tout au long de sa carrière à l’école, principalement au collège.
Surnommée affectueusement “Ms. K.” par ses élèves, elle dit souvent en plaisantant qu’ils ont tous été comme ses enfants et a indéniablement contribué à la réussite et l’épanouissement de chacun d’entre eux. Sa bienveillance et son dévouement ont profondément marqué des générations d’élèves, d’enseignants et de familles. Elle a d’ailleurs reçu en octobre 2022 le titre de Chevalier de l’Ordre des Palmes académiques, une distinction prestigieuse émanant du ministère de l’Éducation nationale en reconnaissance et remerciement pour ses nombreuses années de service, sa passion pour l’enseignement et son impact sur la vie de nos élèves !
Cyn prendra sa retraite à la fin de l’année scolaire et nous sommes tristes de lui dire au revoir. Nous ne pourrons jamais assez la remercier pour tout ce qu’elle a fait pour notre école et apporté à notre communauté au fil des ans. 


Parlez-nous un peu de vous.

Je suis née et j’ai grandi dans l’Illinois. Je suis la petite dernière de ma famille et j’ai un grand frère, Nick. J’ai été élevée dans la religion orthodoxe grecque et j’ai toujours adoré la fête de Pâques car nous la célébrions à la fois la Pâques catholique (plus courante aux États-Unis) et la Pâques orthodoxe ou “grecque” comme l’appellent la plupart des Grecs. Nous allions chez mes grands-parents à Oak Park, où nous faisions rôtir un agneau entier au barbecue et je passais la journée à me gaver de feta, d’olives grecques etc. tout en courant autour de la table pour casser les œufs durs rouges de tous les invités comme le veut la tradition grecque. Petite fille, je jouais très souvent à la maîtresse dans le sous-sol de notre maison, sans doute un signe précurseur de mon envie de devenir enseignante. J’adorais lire les aventures de Dick, Jane et Sally dans la série de livres du même nom très employée à l’époque pour apprendre à lire en CP et CE1.

Pourquoi le LFC fut-il la bonne école pour vous ?

Je suis la seule enseignante américaine qui travaille à l’école depuis sa création. Je suis fière d’avoir fait aimer Shakespeare, la lecture en anglais et les ateliers d’écriture créatifs à tant d’élèves au fil des ans. Exercer mon métier au Lycée fut idéal car j’ai longtemps bénéficié d’une grande liberté pédagogique pour enseigner ma matière aux élèves et j’avais même eu la chance de participer à l’élaboration du programme complet d’anglais de l’école à mon arrivée.

Racontez-nous une anecdote qui surprendra la plupart de nos lecteurs.

Pendant de nombreuses années, j’ai pris des cours et pratiqué le “Raqs sharqi”, littéralement danse orientale en arable, originaire du Proche-Orient et aujourd’hui plus communément appelée “danse du ventre”. Je suppose que j’ai ça dans le sang !

* Si vous souhaitez participer à la série ""Oui" are the Lycée : portraits de notre communauté", merci de contacter communications@lyceechicago.org.

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